TÉLARAMA
Toutes les dimensions humaines du conflit se trouvent rassemblées en un geste de cinéma inoubliable.
 
LIBÉRATION
Un documentaire magistral et indispensable.
 
LE FIGARO
À l’écran, des soldats tombent en moins de temps qu’il ne faut pour l’écrire. Stupeur face à ces morts en direct, rendues plus irréelles encore par les objectifs grand angle des caméras embarquées. Le sort de ces fantômes ne devrait pas laisser insensible l’académie des Oscars, où cette immersion inédite et saisissante représentera l’Ukraine.
 
LE DAUPHINÉ LIBÉRÉ
Mstyslav Chernov au cœur de cette forêt avec les soldats ukrainiens livre un document brut et saisissant, sur le réel dévastateur de la guerre. Un cauchemar horrifique, à regarder en face, la conscience grande ouverte.
 
DERNIÈRES NOUVELLES D’ALSACE
Un cauchemar horrifique, à regarder en face, la conscience grande ouverte.
 
L’OBS
Le documentaire puissamment cinématographique qu’il en a tiré s’inscrit d’emblée parmi les plus forts films de et sur la guerre, cette saloperie qu’aucun drone ni technologie de précision ne rendront jamais propre.
 
LE MONDE
Le documentaire se situe dès lors aux confins de deux esthétiques. Une plus journalistique mêlant paroles glanées, portraits de combattants volontaires, remise en contexte politique ou historique, etc., travaillée par la voix off de Mstyslav Chernov, et une autre plus crue, tout en tension dramatique, qui suit le mouvement d’avancées des troupes et nous renvoie à d’autres représentations fictionnées de la guerre, telle la scène d’ouverture d’Il faut sauver le soldat Ryan (1998), de Steven Spielberg.