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FRANCE, UNE HISTOIRE D’AMOUR

Documentaire / France

Après avoir exploré la planète, Yann Arthus-Bertrand part à la rencontre des Français pour les photographier. Ces rencontres permettent de révéler des paroles sincères dessinant des portraits d’hommes et de femmes pour qui, fraternité rime plus que jamais avec égalité. Ce road-movie, authentique et sans filtre, est une invitation à la curiosité mais surtout au vivre ensemble.

Année

2025

RÉALISATION

Michael PITIOT et Yann ARTHUS-BERTRAND

SCENARIO

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AVEC

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FICHE TECHNIQUE

1h45 - Couleur - Dolby Digital 5.1

DATE DE SORTIE

5 NOVEMBRE 2025

NOTE D’INTENTION DU CO-RÉALISATEUR MICHAEL PITIOT

C’est l’histoire d’un homme qui, après un beau voyage sur Terre, revient à la maison. Cette maison, c’est la France et cet homme, c’est Yann Arthus-Bertrand. Comme saisi par le désir de redécouvrir son pays, de retrouver le goût savoureux du vivre-ensemble au plus près de ses habitants d’aujourd’hui, Yann se met en tête de photographier la « France qu’il aime ».

 

Les critères importent peu, le subjectif sera roi, l’objectif étant d’approcher la diversité d’une nation. Plus qu’un paysage, c’est un visage qu’il cherche. On prend la route,Yann, la moustache souriante, et moi, candide volontaire et chauffeur à mes heures. Et très vite, il ressort de notre voyage que chacune de nos rencontres décidera de la suivante.

 

Quand on aime, il faut partir! Le verbe haut et tutoyant la terre entière avec aplomb, Yann recherche donc ses Français ».Ceux qui s’engagent, ceux qui agissent et donnent envie de s’entraider les uns les autres, ceux qui se battent tout simplement pour un monde meilleur… La quêtes fait juste. Je la saisis par des hors champs des à-côtés, et cette comédie joyeuse devient un voyage à travers la France profonde, sensible, simple et combative, où l’on discute âprement du « pays des libertés », de ses quartiers délaissés, « plein d’immigrés très sympas », de ses paysans qui « souffrent en silence mais gardent la tête haute ». Yann écoute, juge, se trompe parfois et se rattrape aux branches avec bonhomie. Il sort son appareil, demande à chacun de se faire « beau », lubie d’un photographe qui s’est mis en tête de faire une exposition de photos de familles (retraités, endimanchées, métissées, folles et sages), de métiers (le boulanger avec son pain, le charcutier avec son cochon), bref, de créer une imagerie à lui, où anonymes et célébrités seront traités sans complaisance mais toujours avec amour et bienveillance.