Grâce à un héritage, Fred embarque, en compagnie de son épouse Emily, pour une croisière autour du monde. Sur le bateau, chacun fait des rencontres, et le jeune couple ne tarde pas à se déchirer…
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Grâce à un héritage, Fred embarque, en compagnie de son épouse Emily, pour une croisière autour du monde. Sur le bateau, chacun fait des rencontres, et le jeune couple ne tarde pas à se déchirer…
JEU 7 : 22h15
AUCUNE SÉANCE
Alfred Hitchcock est sans doute le réalisateur le plus emblématique de toute l’histoire du cinéma. L’adjectif « hitchcockien », intégré au langage courant pour définir le travail de nombreux cinéastes œuvrant dans le domaine du thriller, illustre à lui seul l’influence majeure qu’il continue d’exercer sur le septième art. Hitchcock entama sa carrière au début des années 1920 et réalisa son premier long-métrage, Le Jardin du plaisir, en 1925. Au cours des cinq décennies suivantes, il signa plus d’une cinquantaine de films, d’abord au sein de l’industrie du cinéma britannique, puis à Hollywood, où il tourna son ultime longmétrage, Complot de famille, sorti en 1976. Au fil du temps, il se bâtit une réputation incontestée de « maître du suspense », portée par des thèmes récurrents et des procédés stylistiques d’une profonde originalité. Les dix films proposés dans cette rétrospective ont été réalisés durant les cinq années qu’Hitchcock passa aux studios d’Elstree, chez British International Pictures. Ces œuvres témoignent d’une grande variété, tant par leur traitement cinématographique que par leurs sources d’inspiration – scénarios originaux (Le Masque de cuir, À l’américaine) ou, pour la plupart, adaptations théâtrales ou littéraires (Laquelle des trois ?, Junon et le Paon). Le passage d’Hitchcock chez British International Pictures peut se lire comme un diptyque, dont le premier volet célèbre l’apogée du muet, et où le réalisateur, nourri d’influences multiples, peaufine son art de la narration visuelle. Le second illustre sa rencontre avec l’avènement du parlant, initié à partir de 1929. Conçu à l’origine comme un film muet, Chantage fut rapidement adapté aux récentes avancées techniques et tourné dans une seconde version sonore.