Sous forme d’une lettre en images, Hormuz, le réalisateur, s’adresse à son grand-père. Tous deux sont nés dans un village iranien meurtri par un drame originel. Tel un homme-oiseau emporté sous les ailes impertinentes du poète Omar Khayyam, de son village natal jusqu’à Paris, en passant par Téhéran, l’auteur narre à l’aune de son regard singulier un parcours peuplé de fantômes, de rencontres et de souvenirs troublants.