ABUS DE CINÉ
Le film montre avec efficacité l’injustice et l’impuissance ressenties par les acteurs locaux, mais aussi le mouvement de soutien mis en place autour de Riace, devenu symbole de lutte et exemple concret d’un autre système possible.
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Même si le bien et le mal se heurtent ici de manière quelque peu binaire, le ton délibérément optimiste de ce documentaire a le pouvoir de démontrer à ceux qui en doutent encore, la puissance maléfique de partis extrémistes, nourris de haine et de divisions, plus propices à propager le malheur que l’harmonie.
LE MONDE
Hymne au partage, à la solidarité, mais aussi film d’alerte, le documentaire n’a rien d’original sur la forme mais, en cette période de repli, le voir met du baume au cœur.
LES FICHES DU CINÉMA
À rebours des temps mauvais, ce documentaire militant retrace l’histoire de Riace, village de Calabre qui a fait de l’accueil des migrants sa raison d’être et sa force vive. En 2018, l’arrivée au pouvoir de l’extrême droite va mettre à mal ce modèle. Éloquent.
LIBÉRATION
Si « Un paese di resistenza » donne de l’espoir, il fait également froid dans le dos, en ce qu’il montre comment l’extrême droite, une fois au pouvoir, saccage méthodiquement tout ce qui contrevient à son idéologie.
PREMIÈRE
Ce documentaire, très intéressant, met des images sur cette saine révolte… et prouve qu’en Europe, le repli sur soi n’est pas une fatalité.
TÉLÉRAMA
Huit ans après avoir raconté la renaissance du village (Un paese di Calabria, 2016), les réalisatrices y reviennent pour filmer la résistance d’une partie des administrés, les pressions de la Ndrangheta, mafia calabraise, et le long combat judiciaire de l’édile pour retrouver sa dignité et sa mairie, conquise entretemps par un lieutenant de la très droitière Georgia Meloni…